Isabelle Spiegel, directrice de l'environnement chez Vinci
© Raphaël Soret / VINCI
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C’est l’un des objectifs de la loi Climat et résilience : zéro artificialisation des sols d’ici 2050. Avant même la publication des décrets, Vinci Immobilier a décidé d’expérimenter sa propre méthode, avec pour objectif 2030. Comment y parvenir ? Nous avons posé la question à Isabelle Spiegel, directrice de l’environnement chez Vinci.
Vinci a choisi un objectif ambitieux de zéro artificialisation des sols dès 2030. Comment comptez-vous vous y prendre ?
Cette décision a été prise spécifiquement au niveau de Vinci Immobilier, car c’est là que nous pouvons agir le plus efficacement en tant que promoteur. Comme il n’y a pas encore de règles définies, nous nous sommes dit que c’était une aubaine pour tester des idées, se demander comment faire pour opérationnaliser la zéro artificialisation nette dès 2030. Pour y parvenir, nous misons sur deux atouts. Le premier est un objectif : générer 50 % des revenus sur la base du recyclage urbain. Le second est un travail de grande ampleur sur la gestion de friches industrielles en portefeuille. Nous avons en gestion une cinquantaine d’anciens sites gaziers d’Engie. Nous avons décidé de regarder comment, à l’échelle d’un portefeuille, nous pouvions rendre l’ensemble neutre en[…]
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