Le réemploi de produits de second œuvre est aujourd'hui le plus pratiqué, dans la mesure où il a moins d'incidences sur les performances de l'ouvrage.
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S'il représente un réel enjeu face à l'épuisement des ressources, le réemploi doit encore résoudre des problématiques de fiabilisation et de modèle économique avant de dépasser le stade de l'expérimentation.
Impulsé par la directive européenne de 2008 sur les déchets, le réemploi de matériaux de construction donne lieu à des initiatives et expérimentations variées qui toutes participent à l'émergence d'une nouvelle manière de concevoir et de réaliser les bâtiments. Le collectif Rotor en Belgique, et plus récemment les associations Bellastock et R-Aedificare en France ont beaucoup œuvré et continuent d'agir en pionniers dans ce domaine. Ils ont été rejoints par des architectes. Parmi eux, il faut citer les agences Encore Heureux, BFV, A1+1, auxquelles on doit respectivement le Pavillon circulaire, la crèche Justice et le Sixième Toit à Paris. Nombreux sont également les bureaux d'études, entreprises, contrôleurs techniques, assureurs, institutionnels qui s'intéressent au sujet, ou encore les maîtres d'ouvrage, qui ajoutent des clauses en faveur de l'économie circulaire dans les cahiers des charges de leurs opérations.
Des actions collectives voient également le jour : ainsi du label Réemploi, lancé en février dernier par[…]
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