© Olivier Genevoix/MNHN
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Les murs végétaux peuvent devenir des réservoirs de biodiversité pour la flore et la faune locales, à condition d'être conçus pour. C'est l'objet d'une expérimentation menée par l'agence ChartierDalix, qui a érigé, en partenariat avec le Muséum d'histoire naturelle, trois prototypes de murs en maçonnerie (brique, pierre et monomur) au 43, rue Buffon (Paris Ve). « Nous ne voulons pas construire des murs qui font appel à des plantes exotiques et qui sont irrigués. C'est pourquoi nous avons exclusivement recours à des plantes locales et notre système d'alimentation en eau repose sur la collecte des eaux de pluie », précise Sophie Deramond, responsable R&D de l'agence d'architecture. Le principe repose sur un système à trois couches : une couche surfacique perforée avec des percements en forme de cuves permettant d'accueillir les espèces végétales et animales et de retenir l'eau et la matière ; une couche continue de substrat plus ou moins tortueuse avec une forte rétention d'eau ; un mur porteur isolé du reste du système, dont la géométrie peut aider à porter la couche de substrat. Les végétaux reposent sur un substrat terreux censé reproduire la composition chimique des sols. Les plantes utilisées ? De la cymbaline ou Ruine de[…]
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