La station solaire est prémontée directement sur le ballon (en photo, la gamme Inisol de De Dietrich).
© De Dietrich
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Le chauffe-eau solaire individuel (Cesi) constitue une technologie fiable et mature. Les industriels proposent pour le résidentiel individuel une offre packagée prête à poser.
Le contexte français, avec des ventes au plus bas pour les Cesi, n'est pas favorable à l'investissement et à l'innovation. Peu de nouveautés donc parmi l'offre des industriels pour une technologie pourtant bien éprouvée. En France métropolitaine, le Cesi à circulation forcée est le plus courant. La principale problématique est la gestion des surchauffes, avec une température pouvant atteindre 200 °C dans les capteurs plans, induisant une vaporisation du fluide caloporteur et un stress des composants (isolant, vannes, clapet, vase d'expansion… ). « Le souci se pose surtout dans le résidentiel collectif, moins dans l' habitat individuel où le rapport volume de stockage/ surface des capteurs limite le risque de surchauffe », tempère René Schmitt, chef de produits chez De Dietrich. La bonne gestion des surchauffes passe avant tout par un dimensionnement adapté, avec un taux de couverture solaire qui ne doit pas être trop élevé.
Essor des Cesi autovidangeables
Deux types de Cesi sont possibles : pressurisé (ici, le ballon solaire Si150 de Chappée) ou[…]
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