Hager met en avant qu'aucune donnée utilisateur ne se trouve sur le cloud pour des questions de sécurité.
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L'innovation en domotique s'opèresur plusieurs axes en simultané et la compétition entres systèmes est farouche.
La révolution domotique est en cours, mais le marché cherche encore ses repères. Les capteurs se miniaturisent, deviennent plus performants et acquièrent de nouvelles fonctions, comme les capteurs de fuites d'eau ou ces nouveaux types de détecteurs de présence à infrarouge capables de détecter des personnes immobiles. Sans même parler d'objets « intelligents », les algorithmes deviennent de plus en plus sophistiqués avec des mécanismes d'auto-apprentissage.
Un gros travail porte sur les protocoles de communication radio afin de réduire l'énergie consommée et ainsi augmenter l'autonomie et la durabilité des capteurs. Enfin, les services associés qui tirent profit de la masse de données engrangées pour se perfectionner (le big data) expliquent l'intérêt des géants du web - Google, Apple, Amazon ou Facebook - pour ce marché. Ce qui fait dire à Sophie Breton, directrice générale d'Hager France que si leur stratégie « est l'intégration maximum dans leur métier d'industriel, leur volonté est d'ici à 2020, de développer les services autour des données pour les clients ».
Des protocoles à très faible débit
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