La passerelle permettra d'enjamber, à pied ou à vélo, le canal Saint-Denis pour relier le village Olympique aux portes de Paris.
© Lavigne & Chéron Architectes
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Fondée en 2015 à l'issue d'un projet universitaire baptisé Démocrite qui consistait à construire le premier mur en béton à partir d'une imprimante 3D, la société française XtreeE, qui se positionne désormais comme un incubateur de solutions constructives, travaille aussi sur d'autres matériaux, comme l'argile ou le plâtre. « Nous nous inscrivons dans une transformation écologique du secteur de la construction, résume Alain Guillen, directeur général de la start-up. Le numérique permet en effet par le design d'optimiser les formes et la taille des objets par l'impression 3D et, de fait, conduit à réduire la quantité de matière utilisée. » Son projet de construction à Aubervilliers (93) d'une passerelle piétonne de 40 m - dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D - devrait permettre d'atteindre cet objectif avec une baisse programmée de 60 % de matière première. La construction de l'ouvrage, commandé par l'établissement public territorial Plaine Commune, a été confiée à un consortium dirigé par Freyssinet en association avec Lavigne & Chéron Architectes, Quadric, Lafarge-Holcim et XtreeE. La passerelle devrait être livrée pour les JO de 2024. Et constituera une première mondiale.
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