Le recours au chauffage à bois augmente, et particulièrement le chauffage à granulés. Pourtant, une mauvaise utilisation ou un mauvais appareil s'avère extrêmement émetteur en particules fines. L'Ademe publie une étude pour optimiser ce type de chauffage.
Premier émetteur de particules fines (41% des émissions en 2020), le chauffage domestique au bois peut être optimisé en soignant l’installation, le dimensionnement, l’utilisation, le stockage de granulés et l’entretien de l’appareil, selon l'Ademe qui dévoile son étude sur les performances énergétiques et environnementales des poêles à granulés. L’agence estime que les rendements énergétiques réels des poêles sont très bons pour 85% des appareils testés. Leurs niveaux d’émission de particules fines sont faibles, inférieurs à 25g/GJ en particules solides. En revanche, les performances chutent lors d'un usage à allure réduite. Pour limiter ce fonctionnement en allure réduite, il convient d’éviter le surdimensionnement des appareils. En pratique, les niveaux d’émissions de particules solides dépassent d’environ 30% ceux communiqués par les constructeurs, à cause de méthodes d’essais trop éloignées de la réalité.
Un bon dimensionnement pour éviter l'allure[…]
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