Réalisée par l'agence DRLW Architectures pour Habitation Moderne, la Zac des Poteries, à Strasbourg (67), met en application la méthode Ecrains, une démarche d'amélioration de la QAI développée par l'Ademe.
© DRLW Architectures
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Longtemps négligée, la qualité de l'air intérieur est davantage prise en compte par les gestionnaires du parc social. Priorités : limiter les pollutions intérieures et assurer le renouvellement de l'air.
Si l'amélioration de la qualité de l'air intérieur (QAI) porte sur l'ensemble des bâtiments, le sujet représente un enjeu crucial pour le parc social. « Les habitants y sont plus sensibles à la pollution de l'air, car plus exposées que le reste de la population de par leur mode de vie, leur alimentation, et bien d 'autres facteurs encore », rappelle Claire-Sophie Coeudevez, directrice associée de Medieco. Peu à peu sensibilisés, les professionnels du secteur se saisissent de cette problématique.
« Beaucoup de bailleurs s' interrogent sur les angles d 'action, les matériaux à employer, les ventilations à mettre en place, la sensibilisation des locataires », constate Corinne Mandin, responsable de l'Observatoire de la qualité de l'air intérieur au CSTB. Car, en la matière, il existe des vides réglementaires. « Il y a peu d'exigences relatives à la QAI dans les logements en France et aucune n'est spécifique au domaine social », souligne Corinne Mandin. Les seules substances réglementées sont le monoxyde d'azote et l'amiante. Des[…]
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