Dans la chapelle Saint-Fiacre de Melrand (56), la présence de mérule a été constatée sous des peintures murales du XVIe siècle.
© Agence Catherine Proux
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Après repérage systématique, ces indésirables peuvent faire l'objet de solutions de retrait ou bien de maintien lorsque l'élément concerné a une valeur patrimoniale avérée.
Les édifices patrimoniaux racontent, strates par strates, la grande histoire de la construction. Pour la plupart d'entre eux, ces édifices qui ont traversé les siècles ont vécu de multiples rénovations, extensions, transformations… Il s'agit donc de constructions composites qui, selon leurs niveaux de protection - classés ou inscrits - et leur époque de réalisation, exigent des protocoles d'intervention spécifiques et le recours à des techniques traditionnelles.
Les opérations de transformation menées sur ce patrimoine - que ce soit pour sa sauvegarde et/ou son adaptation aux besoins contemporains liés à la sécurité ou l'environnement, etc. - passent par la recherche des polluants du bâtiment, des indésirables comme le plomb, l'amiante, ou les xylophages comme la mérule.
Le premier a été largement exploité pour ses qualités de résistance à la corrosion et de malléabilité. Sa température de fusion relativement basse en fait un matériau très utilisé dans les couvertures, les vitraux, les chéneaux et ornements. Il est également présent dans les[…]
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