La légèreté du bois et du zinc a permis d'ajouter un étage à la surélévation qu'avait déjà connu cet immeuble dans le passé.
© Buffa Architecte
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement Les Cahiers Techniques du bâtiment - édition Abonnés
L'ajout d'un étage était autorisé par le PLU pour cet immeuble en R+4 en forme de L, qui avait déjà subi une surélévation un siècle plus tôt. La nouvelle, en structure bois et couverture zinc, est supportée par la structure existante. Ce système constructif a permis de réaliser un porte-à-faux de 80 cm sur la cour intérieure, ce qui aurait été impossible en maçonnerie. L'installation de chantier, comprenant un échafaudage donnant sur la rue et sur la cour intérieure, une traversée de l'appartement au premier étage et une sécurité contre les intrusions, a d'ailleurs constitué un poste budgétaire important. Raison pour laquelle les travaux ont été mutualisés avec une rénovation thermique de la façade. Enfin, les planchers existants étant très fins, une autre contrainte a été d'organiser l'entreposage des gravats de manière à éviter toute concentration de charge en un point, source d'éventuelles pathologies structurelles.
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.
vous lisez un article des Cahiers Techniques du Bâtiment N°367
Découvrir les articles de ce numéro Consultez les archives 2018 des Cahiers Techniques du Bâtiment