La végétalisation colonise les bâtiments de l'opération Le Ray à Nice (06), livrée par la Maison Édouard François.
© We Are Contents
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement Les Cahiers Techniques du bâtiment - édition Abonnés
À défaut d'espaces verts créés en pleine terre, les bâtiments peuvent faire office de réceptacle pour une végétalisation hors-sol. Mais leur impact sur le rafraîchissement du quartier n'est pas encore quantifié.
La ville résiliente, c'est la ville verte. Comme le révèle une enquête(1) menée dernièrement par l'Ifop pour le compte de l'Union nationale des entreprises du paysage (Unep), le verdissement des métropoles répond autant à l'urgence environnementale qu'au besoin grandissant de végétal exprimé par les citadins. Face à la complexité d'insérer de nouveaux espaces verts dans un tissu urbain dense, les bâtiments - à condition que leur configuration le permette - peuvent opportunément se faire supports de végétalisation. La réglementation évolue d'ailleurs en ce sens. L'article 101 de la loi Climat et Résilience va ainsi amplifier le champ d'application de l'obligation (en vertu de la précédente loi Biodiversité) d'intégrer un système de production d'EnR ou de végétaliser (sur au moins 30 % de leur surface) les toitures des bâtiments neufs soumis à autorisation d'exploitation commerciale (AEC) et des parcs de stationnement couverts d'une emprise au sol de plus de 1 000 m². À partir du 1er juillet 2023, ce seuil sera abaissé à[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.
vous lisez un article des Cahiers Techniques du Bâtiment N°404
Découvrir les articles de ce numéro Consultez les archives 2022 des Cahiers Techniques du Bâtiment