Avec le développement de la démarche HQE et des réglementations thermiques, l’industrie du revêtement de sol textile est confrontée à de nouvelles exigences et spécifications. Ainsi, les cahiers des charges se rapportant aux sols souples font désormais régulièrement référence au facteur de réflexion lumineuse (facteur LRV ou Rhö), en demandant des valeurs de l’ordre de 30 %. Ce faisant, ils imposent une généralisation des couleurs claires, qui, selon l’UFTM, l’Union des fabricants de tapis et moquettes, comporte des inconvénients notables : risque d’encrassement rapide compromettant la durabilité des produits, besoin d’un entretien rigoureux nécessitant eau et énergie ou limitation des types de pose, afin d’éviter les effets esthétiques disgracieux. Des contraintes qui pourraient dévaloriser le produit et éclipser dans le même temps ses qualités acoustiques, thermiques ou décoratives.
Sols souples : propagation des couleurs claires
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