Le parking Danube Vert, à Strasbourg (67), offre 340 places partagées entre résidents et visiteurs de l'écoquartier du même nom.
© Camille Gharbi
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En plus d'un plan rationalisé à l'extrême, les parkings aériens intègrent des fonctions complémentaires et sont même parfois reprogrammables. Façon de compenser leur mobilisation d'un foncier recherché.
Si les parcs en superstructure tendent à se généraliser depuis une dizaine d'années, cela tient d'abord à des facteurs techniques et économiques. L'arrêté du 9 mai 2006, qui a complété et modifié le règlement de sécurité contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public (parcs de stationnement couverts) a en effet introduit la notion de « parc de stationnement largement ventilé » (PSLV). Un parking relevant de cette catégorie offre à chaque niveau des surfaces d'ouverture dans les parois d'au moins deux façades opposées, placées à une distance inférieure à 75 ml'une de l'autre. Ces sur faces d'ouverture doivent correspondre a minima à 50 % des façades et, à chaque niveau, à 5 % de la surface de plancher. Grâce à ces dispositions, la ventilation naturelle permet d'évacuer rapidement les fumées dégagées lors d'un incendie de voitures. De ce fait, le coût de construction d'un parking aérien est généralement inférieur à celui d'un parking souterrain, qui requiert des systèmes de[…]
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