A. La conception architecturale nécessite d'acquérir des données diverses de type SIG, PLM ou des outils métiers, elles seront utilisées au sein de la maquette numérique si elles respectent l'interopérabilité au sens du BIM.
© Cap Gemini
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Les approches SIG et CAO s'harmonisent via le processus BIM et offrent aux professionnels de la construction une vision des bâtiments intégrés dans un espace constructif et un environnement socioéconomique.
dans les années 90, un bureau de contrôle a modélisé une structure métallique en détaillant tous ses composants selon leur emplacement. Le but : traiter une construction et assurer sa maintenance par famille d'élément. À l'époque, les outils de conception assistée par ordinateur (CAO) ne géraient pas des objets, mais des lignes de dessin. La solution informatique choisie fût d'utiliser un système d'information géographique (SIG). Comme sur une carte, il a permis de décomposer le bâti en une superposition de couches d'informations où chaque élément est défini par son emplacement, sa typologie (boulons, soudure, poutrelles, treillis… ) et ses attributs (matériau, origine, modèle, résistance, dimensions… ). Cela ressemble au principe de la maquette numérique qui définit une association d'objets dans un format normalisé IFC (Industry Foundation Classes). Mais l'expérience, bien que concluante, n'a pas été poursuivie. Entre-temps, les logiciels de CAO architecturale en mode objet sont apparus et le concept[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.