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À l'heure où les solutions intelligentes truffent les bâtiments, la conscience du risque du piratage est encore faible. Quelques mesures peuvent toutefois combler les principales failles de sécurité.
Fin 2016, une attaque d'ampleur fait tomber, par déni de service, un service gérant les accès aux sites de PayPal, Twitter, Spotify ou encore Netflix. Des milliers de caméras de surveillance connectées au web et dont le mot de passe avait été conservé par défaut ont été piratées chez des particuliers, pour le saturer. Début 2017, un hôtel autrichien voit les serrures connectées de ses chambres verrouillées à distance. Le hacker finira par libérer les clients après paiement d'une rançon par le gérant. Deux exemples récents de cyber-attaques menées au travers des équipements connectés dans les bâtiments. « Avec la connexion progressive de tous les appareils à des protocoles ouverts via l'IP, et sans système de protection adapté, il y en aura de plus en plus, avertit Ronan Jezequel, ingénieur à la CNPP, une société spécialisée dans la certification de matériel de sécurité (serrures, caméras, alarmes… ). Si la prise de conscience et les précautions sont encore faibles chez les fabricants de ce type de matériel, pourtant[…]
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