Réalisée dans le cadre d'une étude sur la gare Paris-Est par Arep, cette modélisation représente un scénario de gestion de flux avec mesure de distanciation physique.
© Arep
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Organiser les flux de personnes dans les espaces intérieurs et extérieurs est devenu un enjeu à prendre en compte dans la conception, à l'appui de la modélisation, et dans le choix des systèmes d'accès.
Depuis un an, la crise sanitaire amène à se préoccuper de la question des flux de personnes, et avec elle du dimensionnement des circulations et des espaces ouverts. Y a-t-il lieu de repenser des dispositions initialement mises en place pour répondre à des contraintes de sécurité et d'exploitation ? À l'issue du premier confinement, l'obligation de prévoir une distance physique (initialement de 1 m, puis de 2 m) entre les personnes a d'une part modifié la façon de gérer les cheminements et les accès, et d'autre part réduit la densité de population autorisée à l'intérieur des espaces clos et au niveau des abords extérieurs.
Les exploitants de lieux recevant du public (gares, stations de métro, bureaux, commerces, etc. ) ont été contraints de matérialiser cet impératif d'éloignement par la mise en place d'une signalétique provisoire au sol et sur le mobilier. Ils ont par ailleurs été amenés à travailler sur les flux piétons, imaginant des systèmes de sens interdits pour séparer les déplacements, les orienter d'un côté ou de[…]
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