Les matériaux de réemploi peuvent continuer à émettre des COV plusieurs décennies après leur première mise en œuvre, notamment les panneaux de particules. - © HildaWeges - stock.adobe.com
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Renforcé par la loi Agec, le réemploi dans la construction permet rarement une caractérisation précise des produits. Mieux dater leur période de mise en oeuvre pourrait permettre une meilleure anticipation des risques d'émissions de COV.
En plein essor dans la filière bâtiment, le réemploi des matériaux de construction a fait la preuve de ses bienfaits pour l’environnement. Il pourrait bientôt devoir démontrer aussi son innocuité pour la santé. En plaçant l’économie circulaire au cœur de leur édition 2021, les Défis Bâtiment Santé ont ouvert plusieurs pistes pour mobiliser la filière réemploi sur les enjeux sanitaires et mieux caractériser les produits concernés.
Le constat, tout d’abord : « Ce n’est pas parce qu’un matériau a été mis en œuvre pendant plusieurs années qu’il n’est plus émissif » en composés organiques volatils (COV), a rappelé Mariangel Sanchez, ingénieure à l’Agence Qualité Construction. En première ligne, les produits à base de panneaux à particules, et particulièrement ceux fabriqués avant la réglementation Reach. Une étude menée par le bureau Medieco dans un bâtiment de 30 000 m2 équipé de planchers techniques, tous issus du réemploi, a révélé que les[…]
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