Lit escamotable pour cette chambre rénovée de 9 m² de la cité universitaire de La Bourgeonnière (Nantes).
© Crous de Nantes
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Avec des surfaces en augmentation et des équipements sanitaires moins rudimentaires, les chambres gagnent en confort. Nouvel enjeu : les rendre connectées afin de maîtriser les consommations énergétiques.
Que faut-il attendre aujourd'hui d'une chambre dans une résidence étudiante ? De la fonctionnalité avant tout, mais aussi une surface minimale. Dans la cité universitaire La Bourgeonnière, à Nantes (44), qui a été récemment rénovée, près de la moitié des logements (3 857) offrent une surface de 9 m2. « Le lit, les placards, le bureau, la kitchenette… Les mobiliers sont fixes de sorte à durer le plus longtemps possible », explique Pascale Fourteau, directrice adjointe du Crous de Nantes-Pays de la Loire. Une exception : dans certaines chambres de 9 m², le lit est escamotable, l'étudiant le descend du plafond pour dormir et le remonte dans la journée. « Pour toutes ces chambres, comme pour les studettes de 13 m² de nos douze résidences (soit 8 324 logements), les salles de bains sont entièrement préfabriquées en usine. L'intérêt ? Raccourcir la durée du chantier. » Le recours au modulaire, qui peut s'entendre aussi à l'échelle de la construction proprement dite (lire p. 46), permet ainsi d'associer des modules formant « un[…]
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