L'ouverture de la coque béton dans le terminal 2F vise à créer une passerelle pour accéder à un nouveau salon d'accueil passagers.Ce dernier, doté d'une large verrière, reprend et réinvente le concept d'œil de piste.
© ADP
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Le percement de la coque du terminal 2F de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle en vue d'installer une passerelle d'accès à un nouveau salon d'accueil a fait appel au procédé de l'hydrodémolition. Une méthode éprouvée mais délicate.
Pour la première fois depuis son inauguration en mars 1998, la coque en béton armé du terminal 2F de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle a été modifiée.
Une opération techniquement complexe mais aussi symboliquement risquée, alors que l'effondrement en mai 2004 d'une partie de la voûte du terminal 2E, perpendiculaire au terminal 2F, est encore dans toutes les mémoires. Le percement d'une ouverture de 7 m x 4 m n'est donc pas une opération anodine, d'autant qu'elle altère radicalement l'œuvre pensée par l'architecte Claude Andreu. Le trou béant pratiqué dans la façade bombée de 28 cm d'épaisseur permettra d'accéder via une passerelle à un salon Air France destiné à l'accueil des passagers. L'ouvrage remplacera les deux espaces de la compagnie aérienne situés dans les péninsules 2F1 et 2F2. Cette mutualisation des services en un bâtiment unique s'est effectuée en empiétant sur les pistes et a imposé un raccordement sous la forme d'une passerelle d'accès située au niveau départ du terminal[…]
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