Le radier du réacteur nucléaire de recherche Jules-Horowitz de Cadarache (13) est désolidarisé du sol avec près de 160 poteaux parasismiques.
© Unibéton
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En zone de forte sismicité, les isolateurs et les amortisseurs, réservés aux centrales nucléaires et aux ouvrages d'art, offrent de nouvelles possibilités.
Pour des ouvrages à forte criticité, comme les plateaux techniques de CHU situés en zone sismique 5, le recours à une désolidarisation du bâtiment de ses fondations a fait son apparition. Un lit de plots sismiques en béton accueille des isolateurs afin de déconnecter les mouvements du bâtiment de ceux du terrain tandis que les amortisseurs complètent le dispositif pour dissiper de l'énergie et réduire les déplacements imposés. Ces équipements sont couramment utilisés pour la construction de centrales nucléaires et d'ouvrages d'art comme les ponts, afin de réduire les effets de vibrations ou l'accélération due aux secousses sismiques. Plusieurs solutions techniques existent comme les appuis à surface courbe (dits à pendulum ou à coupelles) ou ceux à élastomères frettés associés à des amortisseurs. Ces derniers, dont la réponse est non linéaire, apportent une solution sur mesure à un projet donné.
Amortir 110 000 tonnes
Une des premières unités nucléaires à être entièrement posée sur appuis parasismiques est le nouveau réacteur nucléaire de recherche[…]
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