Le programme mixte de l'écoquartier Lisière-Pereire, à Saint-Germain-en-Laye, conjugue résidence étudiante et logements sociaux.
© Patriarche/Takuji
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Des budgets souvent serrés obligent à un jeu d'équilibre entre recherche de fonctionnalité, de pérennité et de convergence spatiale. Le tout sans oublier les espaces collectifs et de services.
Dans les grandes villes universitaires, la mise en chantier de résidences étudiantes tente de pallier le déficit actuel de logements. Les nouvelles constructions relèvent de programmes publics ou privés sur des terrains privilégiant l'accès aux transports publics autant que la proximité des campus et centres villes. Les opérations gérées par les Crous font souvent l'objet de partenariats avec des offices HLM, sur la base d'appel d'offres publics ou privés ou en maîtrise d'ouvrage direct pour les opérations de petite taille en raison de la capacité de financement limitée des Crous.
Le seuil des 150 à 200 logements
En net développement, les résidences étudiantes privées représentent un marché pour les principaux promoteurs immobiliers qui les intègrent parfois à des programmes mixtes de logements. La taille des projets reste variable, même si le seuil de rentabilité se situe communément dans le public au-dessus de 150 à 200 logements, avec des surfaces oscillant entre 16 et 25 m 2 par studio. Les bâtiments partagent une forme compacte et[…]
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