Une rampe d'accès douce a été intégrée dans la cour d'accès du musée d'Art de Toulon (83), récemment labellisé Musée de France.
© Photos Serge Demailly / D+P architectes
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L'application de la loi pour l'accessibilité aux PMR se heurte dans les sites et monuments protégés à des contraintes historiques et techniques qui nécessitent adaptation et souplesse d'intervention.
L'accessibilité des établissements recevant du public (ERP) aux personnes à mobilité réduite (PMR) est gravée dans le marbre depuis la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Cependant, elle peine à s'appliquer dans les bâtiments anciens remarquables pour lesquels existent des contraintes liées à la préservation du patrimoine. Le champ d'application de la loi est large puisqu'il porte sur l'entrée de l'édifice, l'accueil, les circulations intérieures, les sanitaires, la signalétique et le stationnement.
La première problématique concerne souvent le cheminement menant à l'entrée du bâtiment.
Pour les édifices ayant un emmarchement important devant la porte principale, la création d'une rampe d'accès dont la pente n'excède pas 6 % est souvent délicate, voire parfois inenvisageable selon les architectes des Bâtiments de France.
La difficulté résidant dans son intégration sans dénaturer et bousculer l'harmonie des façades historiques.[…]
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