Chez Schneider Electric, les disjoncteurs et interrupteurs-sectionneurs de la gamme MasterPact MTZ, qui sont invendus ou énergisés, sont collectés et réparés en usine, où certains composants sont changés, avant d'être reconditionnés et remis sur le marché.
© Schneider Electric
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Les équipements électriques et électroniques (EEE) améliorent l'efficacité énergétique du bâtiment. Pour aller plus loin, les industriels s'appliquent à verdir la fabrication de ces produits.
Pour un équipement électronique ou électrique, le premier poste à considérer dans l'évaluation de son empreinte environnementale est sa consommation d'électricité en phase exploitation, calculée selon des scénarios standards. La valeur de ce poste est recalculée par la suite dans sa globalité en fonction des spécificités du bâtiment en construction. Le second contributeur au bilan carbone du produit est sa fabrication. D'importantes différences peuvent apparaître entre produits de même catégorie selon leur taux de matière recyclé, le pays de production, les transports en amont des sous-ensembles, etc. Chez Somfy, l'établissement d'un bilan carbone à l'échelle du groupe a servi de fil directeur pour fixer des objectifs environnementaux ambitieux à atteindre par étapes successives. En 2012, ce bilan avait révélé que près de 90 % des émissions de GES de l'entreprise étaient liées aux produits, dont les deux tiers pour leur consommation électrique et un tiers pour leurs matières et composants. L'impact des transports ou de la fin de vie[…]
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