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- L'âge des canalisations (facteur aggravant mais pas toujours déterminant).
- Le type de canalisation (souvent corrélé avec une période historique de pose).
- La corrosion des canalisations causée naturellement par l'eau distribuée (interne, notamment si l'eau est agressive) ou externe (humidité du terrain).
- Le vieillissement des joints d'étanchéité entre les canalisations.
- La fragilité des points de piquage des branchements individuels sur le réseau public.
- Les tassements, vibrations et déformations subis par les terrains.
Ils se traduisent par :
- Des trous ou fissures.
- Des déviations angulaires (changement de direction/ décalage).
- Une ovalisation (le tuyau s'aplatit, ce qui accroît le risque de casse).
- Des infiltrations (le tuyau devient poreux et l'eau entre dans le tuyau EP).
- La présence de racines (pousse d'un arbre mal positionné).
- Des dégradations de surface/porosité, éclats dans le béton ou le grès (les curages répétés fragilisent à la longue les canalisations).
- La corrosion pour les tuyaux en fonte.
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