Le traitement en autoclave permet une imprégnation en profondeur des agents antinuisibles.
© Sarpap & Cecilindustrie
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Le choix du traitement de préservation nécessaire pour atteindre la durabilité conférée se base sur la classe d'emploi de l'ouvrage, le potentiel naturel de l'essence choisie et sa localisation.
Plusieurs espèces biologiques - insectes à larves xylophages (capricornes, vrillettes… ), termites et champignons lignivores - sont capables de digérer le bois. Les dégradations peuvent être d'ordres esthétique (bleuissement, moisissures… ) ou structurel (galerie d'insecte, pourriture… ). La nature, l'importance et le développement de leurs attaques dépendent de la durabilité naturelle du bois, c'est-à-dire de la résistance aux agents biologiques de son duramen (le noyau hors aubier) et de son imprégnabilité (sa capacité à retenir le produit de préservation). Des paramètres qui varient selon les essences, l'humidité, la température et le milieu ambiant.
Face à ces risques, l'objectif du traitement préventif est d'apporter la résistance nécessaire à l'emploi visé (la durabilité conférée) aux différents éléments participant à la solidité des bâtiments. Cela concerne les bois et matériaux à base de bois (BLC, BMA, BM, BMR… ), les structures en bois massifs ou composites, ainsi que les éléments de contreventement en panneaux[…]
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