Vue intérieure du hall du campus créatif de Rennes (35), conçu par Philippe Dubus Architecture.
© Maxime Delvaux
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Complexe sur le plan technique, la mixité programmatique verticale participe des nouveaux modèles de développement de la ville durable, en épargnant le foncier et en créant de l'attractivité dans les quartiers.
Des salles de classe situées au RdC d'un immeuble de bureaux, une école d'enseignement supérieur enchâssée dans une résidence étudiante, des logements associés à des hôtels et des commerces…
La mixité verticale trouve aujourd'hui des déclinaisons nombreuses dans l'espace urbain. Pour les aménageurs, promoteurs et investisseurs qui y recourent, l'intérêt est multiple. Dans un contexte de forte densification des centres-villes, la mixité programmatique apparaît comme une opportunité de valorisation d'une ressource foncière de plus en plus rare. En réduisant les risques financiers, elle offre aussi un levier pour concrétiser des projets qui ne verraient pas le jour autrement. Ainsi, deux écoles ont pu être partiellement financées grâce à une autre partie du programme comprenant dans un cas des bureaux, dans l'autre des logements privatifs. Nombreux sont par ailleurs les architectes qui appellent la mixité verticale de leurs vœux pour construire la ville de demain. En amenant des habitants dans les quartiers d'affaires, les[…]
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