Résidence Normandie, Dammarie-lès-Lys (77).
© Antoine Felletin Architectes
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Normes thermiques exigeantes, volonté de renouvellement urbain… L'enveloppe mobilise de fait près de la moitié des coûts de réhabilitation. Quatre opérations franciliennes de deuxième couronne en témoignent.
Dans le domaine de l'habitat social, la rénovation énergétique est le socle d'une réhabilitation qui peut aller jusqu'à la surélévation-transformation, voire la réhabilitation lourde. L'État en a fait l'une de ses priorités à la fois pour réduire l'impact environnemental des bâtiments les plus énergivores et lutter contre la précarité énergétique. Ces dernières années, les bailleurs sociaux ont ainsi intensifié les mises en chantier afin de respecter leur engagement de rénovation énergétique de 100 000 logements par an. Un programme classique passe généralement par la pose d'une ITE et le remplacement des menuiseries extérieures, lesquels vont de pair avec la réfection ou la création d'une VMC. Il comporte également un volet amélioration des logements, touchant notamment aux pièces humides, et un traitement des parties communes. Le coût moyen d'un projet type est de 30 000 € par logement, sachant que l'investissement oscille souvent entre 20 000 € dans le cas d'un programme restreint à 40 000 € pour une approche plus[…]
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