Sur la façade du centre sportif de la Cité Traëger (Paris), une photographie géante de l'artiste Patrick Tosani a été imprimée sur le film intercalaire du verre de sécurité.
© Lankry Architectes
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Œuvres d'art monumentales, camouflage ou protection solaire high-tech, les façades s'enjolivent, jouent avec la lumière et, parfois même, s'animent en fonction du vent ou de l'orientation…
Les façades des immeubles sont des visages. Elles signent leur identité. Mais trop souvent, surtout dans le tertiaire ou les bâtiments publics, elles sont monolithiques, symétriques et uniformes. Vitrées et métallisées, elles brillent au soleil, luisent sous la pluie mais n'expriment rien de particulier. Certaines, pourtant, attirent l'attention, comme la façade e ), de Jean Nouvel et Architecture-Studio. Elle a marqué les esprits depuis son inauguration en 1987 avec ses 240 moucharabiehs au dessin élégant et ses diaphragmes motorisés qui se ferment au soleil.
B. Aéroport de Brisbane, Australie.
C. La façade pixelisée de l'internat de Dammartin-en-Goële (77).
Sortir ainsi des sentiers battus demande de prendre des risques et a parfois un coût, mais la diversité des propositions montre que les architectes peuvent, en jouant sur les matériaux ou les formes, insuffler de la vie, un supplément d'âme à leurs ouvrages. User ici d'un matériau rare, là d'un irisé, ailleurs de la terre cuite vernie ou d'un vitrage imprimé, ajouter des[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.