La nouvelle Windra de Warema peut résister à des vents jusqu'à 90 km/h et convient à un usage en hauteur.
© Warema
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Faciles à poser et robustes, les brise-soleil mobiles s'enrichissent de fonctions complémentaires pour mieux s'adapter au marché. L'enjeu ? Affranchir les bâtiments des systèmes de climatisation.
Le brise-soleil orientable (BSO) est généralement à lames alu, repliable, avec possibilité de manœuvre manuelle. Mais dans les faits, plus de 90 % des unités vendues sont motorisées. Avec l'ajout d'un boîtier de communication, il peut être piloté par tout type d'automatisme. La montée et la descente des lames et leur orientation sont automatisées en fonction de la température extérieure, de l'intensité du vent et du rayonnement lumineux. « De plus, en tertiaire, il y a obligation de motoriser et d'automatiser, notamment en fonction de la vitesse du vent, détaille Christelle Bertard, de Schenker Stores. L'intelligence de l'automatisme est prise en compte dans les calculs réglementaires par le bureau d'études thermique pour gérer le dimensionnement des climatisations ou pour les supprimer. » Outre la performance, les concepteurs recherchent l'esthétique, en particulier la quasi-invisibilité de la protection solaire lorsqu'elle est remontée. « Nous avons aussi travaillé l'intégration dans le tableau des coulisses. Le résultat est très discret[…]
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