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Poussés par la réglementation et le cercle vertueux de la labellisation, les industriels ont su faire évoluer leurs gammes de peinture vers des solutions en phase aqueuse moins polluantes pour l'air intérieur.
Le marché des peintures intérieures ne ressemble en rien à celui d'il y a dix ans. Les produits qui étaient alors majoritairement en phase solvant ont cédé la place à de nouvelles peintures à base de résines acryliques, de copolymères acryliques, d'alkydes, ou de liant minéral. Selon la Fipec*, celles-ci sont aujourd'hui à plus de 80 % des produits à l'eau. Le virage pris par les industriels a permis de répondre à la montée des préoccupations sanitaires et environnementales. Il fait suite aux directives européennes de 2007 et 2010, qui fixent des teneurs de solvant à ne pas dépasser - exprimées en gramme de COV (composés organiques volatils) par litre de peinture prête à l'emploi - et à la mise en place en France, en décembre 2013, d'un étiquetage obligatoire du niveau d'émission des produits (de A+ à C, du moins au plus émissif, selon la mesure de 10 COV principaux et des COV totaux après 28 jours de séchage).
Au-delà de l'étiquette
Une majorité de peintures affiche ainsi une étiquette A+ ou A. L'ensemble[…]
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