Avec le parc Martin Luther King de 6,5 ha à Paris XVIIe, le taux d’abattement des eaux pluviales à l’échelle du quartier Clichy-Batignolles atteint 50 %.
© Sergio Grazia
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Pour répondre aux objectifs de réduction des émissions carbone, les stratégies d'aménagement visent à faire des quartiers des écosystèmes autonomes et durables, à l'appui de différents labels et référentiels.
Exit la vision de bâtiments isolés auxquels la collectivité apporte des ressources et en évacue les déchets. Ils sont désormais contributeurs et acteurs sur de multiples thématiques comme la gestion de l'eau, la biodiversité, la lutte contre les îlots de chaleur, la production d'énergie renouvelable et de chaleur fatale, l'effacement de la consommation électrique, la production de déchets recyclables y compris localement (biodéchets). Sans surprise, la collectivité et les aménageurs imposent des objectifs aux nouvelles constructions ou aux rénovations lourdes, ce qui représente un levier important. Ainsi pour l'opération de la ZAC Saint-Vincent-de-Paul (Paris XIVe), « sont requis un niveau passif et des labellisations BBC A et Bâtiment biosourcé niveau 3 », indique Ghislain Mercier, responsable du pôle Ville durable et nouveaux services à la SPL Paris et Métropole Aménagement. Pour l'aménageur d'une ZAC ou d'un écoquartier, les objectifs environnementaux sont multiples (bas carbone, gestion des eaux pluviales, biodiversité… )[…]
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