Menée par Sogea Atlantique, la rénovation de 296 maisons individuelles à proximité d'Angers embarque la performance carbone à travers un principe de façade préfabriquée, incorporant une isolation renforcée (panneau de laine de bois et isolant mince) et l'installation d'une tour thermique.
© Vinci Construction
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Très engagé dans la stratégie nationale bas carbone (SNBC), le secteur du logement social entend se positionner en leader de la décarbonation. Les bailleurs misent sur une approche globale ou des solutions industrialisées.
Si la RE2020 ne s'applique pas à la rénovation, l'USH a en ligne de mire les objectifs de la SNBC d'éradication des logements classés E, F et G en 2025, 2028 et 2034 dans le parc social. Actuellement, moins de 9 % des logements sociaux sont classés F et G, pour 19 % dans le parc privé (source : Service des données et études statistiques du MTE, SDES). L'annonce, en juin, du plan européen de réduction de 55 % des émissions de GES d'ici à 2030 met un coup d'accélérateur supplémentaire. « Les bailleurs et l'USH s'inscrivent dans cette démarche et entendent augmenter le volume de leurs réhabilitations avec un niveau plus ambitieux encore , déclare Alban Charrier, adjoint au directeur de la MOA aux USH. L'effort financier demandé est évalué à 7,5 milliards par an, le double de l'investissement actuel. Par ailleurs, la massification ne va pas sans poser de questions de faisabilité technique, de capacité de réponse des entreprises, d'organisation des filières… » Autant de sujets qui seront au cœur de l'édition 2023 du[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.