Construction de la résidence Le Djinn, à Grenoble (38) (LCR Architectes/Bouygues, Construction/Ossabois).
© Pierre Le Chatelier
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Rapidité de chantier, bas coût, filière sèche… Les promesses des récentes résidences étudiantes en construction modulaire ont-elles été tenues ? Bilan, à l'heure où le Cnous se prépare à lancer un nouvel appel d'offres.
Fin 2012, la construction modulaire avait le vent en poupe : le Cnous lançait un appel d'offres pour la construction de 2 000 chambres réparties en treize résidences étudiantes, sur la base de systèmes modulaires (18 m²) alliant coûts modérés et rapidité de construction. Pour les cinq groupements retenus, cet appel d'offres donnait une réelle visibilité à cette industrie naissante. Sur les douze résidences livrées à ce jour, le retour d'expérience est globalement positif. « Le programme a été respecté, ainsi que la rapidité de chantier : on gagne quatre à six mois sur des opérations de 120 logements, et six à dix mois sur 200 à 300 logements », résume le directeur général du Crous de Créteil (94), Alexandre Aumis. Même si tout ne s'est pas fait sans difficultés : les premières réalisations ont essuyé les plâtres, mais, par la suite, chaque opération a bénéficié des retours d'expérience capitalisés par le Cnous.
Atouts et limites du système
Concernant la première résidence, At Home, livrée à[…]
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