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La protection des occupants des bâtiments lors des épisodes de forte canicule est devenue un enjeu majeur de la construction. Mais il faudra cependant s'habituer à des températures ambiantes plus élevées.
Comment définir un bâtiment résilient ? « C'est un bâtiment dont le confort d'été est intrinsèquement passif et ne dépend pas de solutions techniques, explique Thierry Rieser, gérant du bureau d'études fluides Enertech. Parmi les aléas à prendre en compte figure le risque de concomitance entre des canicules doublées d'une forte sécheresse et des coupures de courant massives. En effet, une centrale nucléaire qui ne peut être refroidie parce que le fleuve qui l'alimente est à sec ne peut pas fonctionner. » Pour justifier cette approche frugale, l'ingénieur évoque aussi l'étendue des dépendances extérieures qui pèsent sur la fourniture et l'entretien des systèmes thermodynamiques, pompes à chaleur et autres climatiseurs, rendant leur maintien plus fragile en cas de pénuries ou de conflits internationaux. « Mais il n'y a pas de bâtiment résilient sans occupant résilient, soit un occupant actif qui ferme les volets en été quand il y a trop de soleil ou ouvre les fenêtres la nuit pour ventiler et profiter de la fraîcheur gratuite,[…]
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