Le procédé de soufflage ouvert de ouate de cellulose développé par la société Isocell permet de travailler à l'isolation thermique des combles perdus.
© Isocell
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Les gammes se développent afin de répondre aux exigences constamment renouvelées de la performance énergétique des bâtiments. De même qu'aux nouveaux enjeux environnementaux.
Présent en France depuis 1997 sur le segment de la laine minérale et de manière plus confidentielle sur celui du polystyrène extrudé, l'industriel Ursa est avant tout connu pour son offre de panneaux et de rouleaux prêts à poser. Mais depuis 2017 et l'ouverture à Desselgem (Belgique) de sa première ligne de production de laine à souffler, suivie un an plus tard d'une seconde chaîne sur son site d'El Pla de Santa Maria (Espagne), le fabricant a souhaité s'attaquer au marché de l'isolation de l'habitat individuel. Avec sa gamme de laine de verre Puls'R 47, Soufl'R 47 et Thermocoustic, il s'est ainsi engouffré dans la brèche ouverte par les différentes aides à la rénovation énergétique qui ont soutenu la demande d'isolation. Et principalement des combles perdus, qui enregistrent près de 30 % des déperditions. Une laine de verre en soufflage est particulièrement adaptée à la configuration de combles sous charpente en fermettes industrielles ou sur des plaques de plâtre fixées par des suspentes à des solives, car elle permet de s'affranchir des reliefs pour obtenir[…]
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