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Depuis les années 2000, les menuiseries bois/alu occupent une part de marché stable sur le haut de gamme. Mais de nouvelles approches associant plus intimement les matériaux se développent en parallèle.
Cumuler les atouts du bois en intérieur (isolation, biosourcé) et ceux de l'aluminium (diversité des finitions et absence d'entretien) pour l'extérieur : voici la promesse originelle de la menuiserie mixte. Apparue dans les années 80, celle-ci est devenue plus visible à partir des années 2000, passant de 0,3 % à 2 % des ventes entre 2000 et 2010. Pour autant, la menuiserie mixte reste aujourd'hui un marché de niche : une étude menée par Axiome Media pour l'UFME publiée en 2017 montre une part de marché (hors murs rideaux, vérandas et fenêtres de toit) de 2,6 % en volume, dans un marché dominé par le PVC (57 %), mais rattrapé par l'aluminium (30 %), en grande progression. Viennent ensuite le bois (11 %), le mixte (2,6 %) et l'acier (0,3 %). Si les performances thermiques des menuiseries mixtes ont pu être un atout, toutes les gammes ont progressé sur ce plan depuis une dizaine d'années : aujourd'hui, 47 % des fenêtres vendues en France affichent un coefficient de déperdition thermique U inférieur à 1,4 W/m².°C (77 % en mixte), et les[…]
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