Des actions simples sont envisageables, à commencer par la sensibilisation des usagers aux températures de consigne.
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Présenté le 6 octobre 2022, le plan de sobriété a fixé un objectif de baisse de 10 % des consommations énergétiques d'ici 2024 et de 40 % d'ici 2050. Avec en première ligne, le secteur énergivore du logement.
Le plan de sobriété gouvernemental - cette feuille de route imposée par le contexte géopolitique et les tensions sur le marché de l'énergie - vient se superposer aux objectifs fixés par la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) 2050. En juillet dernier, la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, et le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein, avaient réuni les acteurs publics et privés du secteur du logement, en présence d'énergéticiens et d'experts. L'enjeu ? Faire la chasse au gaspillage énergétique dans un secteur énergivore et émetteur de gaz à effet de serre (GES). En France, le bâtiment représente près de 45 % de la consommation d'énergie et est responsable d'environ 20 % des émissions directes de GES. Les acteurs du logement (promoteurs, syndics, bailleurs sociaux, établissements publics, associations) ont ainsi fait part de leur détermination à mettre en place des actions simples à effet rapide. Pour le moyen et long terme, comme la réhabilitation énergétique des bâtiments[…]
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