La halle de Lamure-sur-Azergues (69), en pin Douglas et calcaire marbrier de Villebois.
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement Les Cahiers Techniques du bâtiment - édition Abonnés
De récentes halles traversantes, à ossature bois ou mixte bois-métal et bois-pierre, témoignent de la volonté des municipalités de proposer de nouveaux équipements culturels et économiques.
Pour de nombreuses communes de petite ou moyenne taille, l'aménagement d'une halle couverte apparaît comme un moyen de requalifier leur centre-bourg, de dynamiser les commerces alentours et d'apporter du vivre ensemble. Positionnée au cœur de l'espace urbain, la halle a une vocation polyvalente : elle accueille le marché hebdomadaire, les festivités de la ville, mais peut également être transformée en préau pour les enfants ou servir de parc de stationnement. Les projets partagent souvent une même volonté de s'ancrer dans leur territoire et leur histoire. Dans les communes forestières, le recours à la filière courte est privilégié : elle permet de valoriser les ressources et le savoir-faire des entreprises locales, tout en réduisant les coûts de transport des matériaux. Les ouvrages, couverts mais non clos, sont sobres en matériaux et en techniques. Le nombre de lots mis en œuvre reste limité - quatre à six tout au plus -, et le budget plus facile à tenir que sur d'autres équipements.
Principe constructif simple
Si l'expression s'avère[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.
vous lisez un article des Cahiers Techniques du Bâtiment N°374
Découvrir les articles de ce numéro Consultez les archives 2018 des Cahiers Techniques du Bâtiment