A. Pour l'opération Sous les fraises, rue Sorbier à Paris (XX e ), les cultures valorisent la fraîcheur : variétés anciennes de tomates, fraises, framboises, aromatiques, jeunes pousses, etc.
© Sous-Les-Fraises
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
À mi-chemin entre le toit végétalisé et la surélévation, la serre de toiture invite l'agriculture en milieu urbain. Mais face aux complexités techniques qu'elle entraîne, sa rentabilité reste à démontrer.
L'agriculture urbaine en toiture émerge en France, souvent par la voie d'appels à projets. À l'instar de Toit Tout vert, 1 400 m² sur un bâtiment de Paris-Habitat, lauréat de la première édition de Paris culteurs (bloqué par un recours) ; la Tour maraîchère de Romainville (93), dont le chantier a démarré ; La ferme urbaine de Colombes (93) et ses 135 m de mur antibruit en bordure de l'A86 ; ou Les Cinq Ponts, dont la construction a commencé cet hiver sur l'île de Nantes (44) et associe deux serres de 700 m². Mais ces projets comportent leur lot de problématiques technico-économiques. « Parmi les premières questions à se poser, il y a celle de l'usage et du type de culture, indique Franck Champain, président de MTECH Buildt, spécialiste des serres. S'agit-il d 'un équipement de travail ou d 'un bâtiment, le cas échéant, d 'un ERP ? Si au sol, une serre est une construction frugale peu coûteuse (100€/m² construit ], régie par une norme [13 031 ], en toiture, la construction est soumise aux DTU, voire aux réglementations[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.