Nouvelle jonction dite Orly 3, avec traitement acoustique en plafond et au sol (moquette).
© Groupe ADP
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Les grands espaces des aérogares comprennent d'importantes surfaces lisses et réverbérantes qui ne facilitent pas la qualité de l'acoustique ni l'intelligibilité de la sonorisation.
Sans traitement de l'acoustique, les halls voyageurs sont des lieux bruyants et réverbérants. L'obligation réglementaire porte sur la délivrance de messages d'informations ou de sécurité qui soient audibles et intelligibles. L'absorption du son dans un espace est dépendante à la fois de la surface traitée et du coefficient d'absorption du matériau utilisé, aussi, les experts préfèrent quantifier l'aire d'absorption équivalente en pondérant les surfaces en présence par leur coefficient d'absorption. L'arrêté du 1er août 2006 concernant les ERP demande au moins 25 % d'aire d'absorption équivalente par rapport à la sur ace au sol, afin de ne pas créer de gêne pour les personnes malvoyantes, qui se repèrent au bruit. « Les architectes travaillent sur le choix et l'intégration des matériaux sachant qu'avec le verre en façade et le marbre au sol, la latitude est réduite pour positionner les matériaux absorbants, explique David Rocchi, acousticien au sein du Groupe ADP. Il faut placer l'absorbant en plafond, ce qui n'est pas toujours suffisant. C'est pourquoi[…]
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