BIM-Y scanne en 3D les bâtiments, ici un musée, avec un système Lidar mobile, NavVis VLX.
© BIM-Y
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Du diagnostic PEMD à leur valorisation finale, les éléments de la déconstruction sont répertoriés et tracés à chaque étape, avec un usage croissant du numérique.
Lors d'opérations de démolition ou de rénovation, les maîtrises d'ouvrage et les entreprises de déconstruction et traitement de déchets sont soumises à des obligations réglementaires. Concernant les déchets dangereux tels que l'amiante, l'obligation de traçabilité est dématérialisée sur la plateforme gouvernementale Trackdéchets, à laquelle plusieurs applications de traçabilité des fluides frigorigènes comme F.i360° ou Clim'app de Climalife sont connectées. Pour les déchets non dangereux, de premiers outils logiciels ont fait leur apparition pour la dématérialisation de leur traçabilité (par exemple la suite logicielle Trinov), la collecte en temps réel (Altaroad) ou l'aide au diagnostic ressources (Diag it de Cycle Up) ou PEMD (Akibo d'Afleya). De premières applications BIM ont vu le jour, comme BatiRIM (Resource Information Modeling), pour faciliter le diagnostic ressources, ou encore BIM-Y qui automatise le scan 3D des bâtiments et leur inventaire à des fins de réemploi. Côté innovation, la blockchain CYCLop de Trace Digital vient certifier la traçabilité des[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.