Le bâtiment Max Weber, de l’université de Nanterre (92), présente une structure en bois, des plafonds en CLT avec solives en sous-face et des sols en béton brut pour l’inertie thermique (architecte Pascal Gontier).
© Hervé Abbadie
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Si les projets ambitieux de construction bois se multiplient, une partie de la structure demeure fréquemment réalisée en béton ou en acier pour des raisons techniques ou économiques.
Des bâtiments de grandes dimensions peuvent être conçus entièrement en bois, avec une structure en panneaux CLT, en association ou non avec de l'ossature bois. Cette démarche est défendue par des architectes comme Pascal Gontier, qui la met en œuvre dans le bâtiment Max Weber de Nanterre (92) en R+4, ou par l'agence Koz Architectes, dans les résidences Tête en l'air en R+4, à Paris, ou Sensations (R+11), dont la livraison est prévue en 2019 à Strasbourg (67).
Dans les faits, les matériaux coexistent pour des questions de budget, mais aussi de résistance structurelle ou de facilité de pose. Le bois n'appréciant pas d'avoir les pieds dans l'eau, les fondations et sous-sol, le socle et parfois même le rez-de-chaussée sont en béton. Pour la tour Hyperion, à Bordeaux (33), en R+17, les trois premiers niveaux sont prévus en béton. Pour le reste, le béton est aussi souvent sollicité pour le noyau et vient s'associer au bois pour les planchers longue portée.
Dans le hall d'entrée de l'immeuble de bureaux Opalia en R+7, de l'agence e ), où se trouve[…]
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