© (Docs. Comap, Rehau, Nicoll.)
Même si le cuivre et le PER (Polyéthylène réticulé) restent prépondérants, le tube multicouche étend sa gamme et conforte ses positions dans le cadre d'une offre plus pointue. En perspective : une logique de « multiconnect hydraulique ».
Le tube en cuivre continue d'être largement utilisé pour l'alimentation en eau froide et chaude des appareils sanitaires, pour le raccordement des radiateurs à basse ou haute température, ainsi que pour les réseaux de climatisation. En effet, il représente encore, selon les spécialistes, entre 40 et 45 % du marché de l'hydrodistribution. Avec un débouché majeur : le secteur de la réhabilitation, lorsqu'il s'agit de rénover et modifier des installations existantes.
Pour autant, les tubes en matériau de synthèse confirment une emprise grandissante. « En 2013, le polyéthylène a enregistré une progression à deux chiffres de presque 15 % », constate Thierry Bedard, en charge du département Chauffage-sanitaire de la société Rehau, mais aussi président du Cochebat, groupement de fournisseurs autant présents sur l'hydrodistribution que sur le plancher chauffant/rafraîchissant.
En France, les membres de cette organisation professionnelle réalisent entre 80 et 90 % des ventes de canalisations en Polyéthylène réticulé (appelé « PER » ou « PE-X »), Polyéthylène résistant à la température (PE-RT), Polybutène (PB) et multicouche (composite associant polyéthylène et aluminium). Ces technologies sont principalement utilisées en hydrocâblé, sous forme de pieuvres hydrauliques encastrées dans les dalles ou chapes qui assurent une alimentation individuelle des points de puisage et émetteurs. Mais, elles peuvent aussi constituer une distribution de chauffage classique, en bitube classique, ou monotube parfois adopté en maison individuelle.
Exigence de calorifugeage
À lui seul, le polyéthylène, sous forme de PE-X et PE-RT, pèse environ 40 % du marché. Comment expliquer sa réussite en 2013 ? D'abord, il faut souligner le dynamisme de l'offre. Les nouvelles générations de tubes en PE-RT, fabriquées avec des résines récentes améliorées, viennent concurrencer le PE-X traditionnel.
Rappelons que ce matériau de synthèse, même à haute densité (PEHD), se caractérise par une résistance médiocre à la chaleur. Seule la réticulation (une opération soit chimique soit physique qui confère au matériau une meilleure résistance mécanique et donc évite sa déformation avec la température) lui permettait d'être utilisé en faible épaisseur dans les réseaux intérieurs de distribution d'eau chaude, ou dans les installations de chauffage. Or, cela n'est plus vrai aujourd'hui. En effet, le PE-RT n'a pas besoin d'être réticulé. La suppression de cette étape industrielle lui procure un avantage en matière de compétitivité économique.
Autre facteur favorable : le positionnement fort du chauffage à eau chaude en construction neuve, dû à un bon niveau de confort du fait de la transmission de la chaleur par radiation, et à la possibilité d'y raccorder un système de production de chaleur à énergie renouvelable (bois, solaire, géothermie, chaleur issue de l'incinération des ordures ménagères).
Une performance qui est bien sûr conditionnée par la limitation des pertes thermiques du réseau dans les volumes non-chauffés. Il faut veiller à cet impératif de calorifugeage y compris dans le cas des alimentations - bouclées ou non - en eau chaude sanitaire. Cette exigence est rappelée dans le « Guide pratique RT 2012 » publié par l'association Énergies et avenir (1), avec l'appui technique du Costic et du bureau d'études Cardonnel.
Ce même document, consacré à la saisie et à l'optimisation des réseaux des distributions en résidentiel, selon la méthode de calcul Th-BCE 2012, attire l'attention des concepteurs sur la nécessité d'isoler les tubes, afin d'éviter de transformer involontairement les dalles en plancher chauffant. Ainsi, est-il indiqué que « l'hydrocâblé induit des longueurs de canalisation élevées qui peuvent engendrer des surchauffes dans les pièces où sont situés les collecteurs », autrement dit où tous les tubes se rejoignent. L'isolation thermique se justifie donc autant par un critère d'économie que de confort.
Règles de mise en œuvre
La conception et la mise en œuvre des réseaux sont encadrées par les DTU. Il faut, notamment, se référer à la norme
Malgré cette réactualisation, les canalisations en matériau de synthèse, ainsi d'ailleurs que tous les raccordements par sertissage, restent couverts par la procédure de l'Avis technique délivré sous l'égide du Cstb. Au-delà des préconisations spécifiques à chaque produit, les conditions générales de mise en œuvre sont réunies dans un « Cahier des prescriptions techniques communes ». Il s'agit du CPT 2808-V2, lui-même complété et amendé en novembre 2011. Applications visées : l'alimentation des points de puisage en eau froide et chaude sanitaire (classe 2), la distribution des radiateurs à basse température et chauffage par le sol (classe 4), les circuits de raccordement des radiateurs ou ventilo-convecteurs à haute température (classe 5), les installations de rafraîchissement et conditionnement d'air jusqu'à une température minimale de 5 °C (classe « Eau glacée »).
Le CPT précise les règles d'engravement des réseaux en cloisons (pose en pratiquant une saignée). Il définit les modalités d'encastrement soit en dalle, soit en chape ou forme de pente réalisée directement sur plancher porteur (pose des tubes et/ou gaines avant coulage du béton). À noter : il n'est pas autorisé d'intégrer les canalisations dans le complexe d'une chape flottante coulée sur isolant, ni dans le mortier de pose d'un carrelage ou revêtement de sol. Il faut alors les loger dans l'épaisseur d'un ravoirage préalable.
Enrobage et recouvrement minimal : 2 cm, tant en dalle qu'en chape ou forme de pente. Les réseaux sont positionnés dans un ferraillage en cas de dalle pleine, ou sur entrevous en cas de plancher avec poutrelles.
Tubes prégainés et préisolés
Deux options d'encastrement sont prévues : soit avec tubes nus, noyés directement dans le béton ou mortier, soit avec tubes protégés par un fourreau ou une gaine. Dans le premier cas, les éléments d'équipement et de structure sont indissociables. L'ouvrage relève d'une garantie décennale. Dans le second cas, il est possible de remplacer la canalisation. Le régime de la garantie biennale peut être appliqué.
À souligner : le CPT 2808-V2 restreint le champ de l'incorporation directe. Celle-ci est strictement interdite pour les installations de climatisation ou rafraîchissement. Elle n'est autorisée pour les réseaux d'eau chaude sanitaire et de chauffage que si la température reste inférieure à une limite de 60 °C.
Le CPT encadre les modalités de pose sous fourreaux afin de garantir le libre mouvement des canalisations, pour retrait et/ou introduction. Des sections minimales sont exigées. Avec deux cas de figure : les tubes sont soit prégainés en atelier, soit fourreautés sur chantier après coulage. Dans la première hypothèse, ou si la gaine est simplement aiguilletée afin de faciliter le tirage, il faut prévoir un taux de remplissage maximal de 73 %. Ainsi, pour une canalisation de 16 mm de diamètre extérieur, il sera nécessaire de déployer un fourreau de 18,7 mm de diamètre intérieur. Dans la seconde hypothèse, les contraintes sont renforcées : le taux de remplissage ne pourra pas dépasser 60 % (gaine de 20,8 mm).
Les pieuvres hydrauliques sont réalisées avec du tube commercialisé en couronnes, généralement jusqu'à un diamètre de 32 mm et dans des longueurs pouvant aller jusqu'à 100 ou 200 m, voire plus. Les produits sont tous proposés en version prégainée qui permet de mieux maîtriser la durée et le coût des chantiers. Le plus souvent, ils sont aussi disponibles dans une version préisolée.
En revanche, l'offre qui conjugue prégaine et préisolation reste encore balbutiante et relativement réduite. Mais, les fournisseurs se préparent à accompagner la mise en pratique de la RT 2012.
Modalités de raccordement
Au cours des cinq dernières années, le tube multicouche a presque multiplié par deux sa part de marché. On estime que ce type de canalisations composites, avec feuille d'aluminium prise en sandwich entre deux couches de polyéthylène, représente aujourd'hui 10 % de l'hydrodistribution. Cette technologie prend place dans une offre plus diversifiée. « Il n'y a pas de solution universelle, il faut privilégier une approche rationnelle au cas par cas », explique Benoît Smagghe, vice- président de Cochebat et responsable Marketing/support technique chez Comap. Cette société a d'ailleurs développé une gamme de raccords passerelles, appelée « Multiconnect », afin de faciliter les transitions entre tubes de nature différente. Le matériau est donc sélectionné en fonction de l'application, et en relation avec le savoir-faire spécifique du professionnel en charge du chantier. Ainsi, les industriels diversifient les modes d'assemblage : brasage, sertissage radial ou à glissement, raccords à compression avec écrou de vissage ou de type Push-Fit, c'est-à-dire « instantanés », car ne nécessitant pas d'outil. Il suffit de pousser le tube dans un dispositif qui va le pincer et bloquer...
Les multicouches relèvent de la procédure de l'Atec (voir tableau). On compte une trentaine d'acteurs, dont deux plus particulièrement dynamiques : les sociétés Uponor et Nicoll. Les systèmes sont tous admis en classes 2, 4, 5 et « Eau glacée », avec une typologie de famille B qui impose de faire appel aux raccords exclusifs du fournisseur. Les produits intègrent une épaisseur minimale d'aluminium qui varie entre 0,2 et 0,5 mm. Ils sont disponibles en barres jusqu'à un diamètre de 110 mm, d'où des applications en parties communes : conduites horizontales et colonnes montantes, tant en logement collectif qu'en tertiaire.
Bien entendu, dans le secteur hospitalier ou en établissement d'accueil de personnes âgées, il faut veiller aux contraintes liées à la lutte contre les légionnelles et autres bactéries nuisibles. Les procédures de nettoyage et décontamination des réseaux nécessitent des performances adaptées.
Fournisseur | Produit | Atec | Tube | Écartement entre fixations préconiséen pose horizontale | Raccords | |||||||
Numéro | Parution | Extension | Composition | Ø en mm |
| Épaisseur minimale de la feuille alu (en Ø 16 mm) | Type | Matériaux | Autre mode visé par lAtec | |||
AQUATECHNIK | Safety System | 14/13-1883 | 2013 |
| PE-Xb/Al/PE-Xb | De 16 à 26 en couronne ou en barre |
| 0,3 mm | 80 cm maximum | À compression | PPSU |
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BLANSOL | Gladiator | 14/09-1444 | 2009 |
| PEX/AL/PEX | De 17 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 1,20 m pour les Ø 17 et 201,50 m pour les Ø 25 et 32 | À glissement | Laiton |
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COES | Coesklima | 14/09-1459*V1 | 2012 |
| PEX/Al/PE | De 16 à 32 en couronne De 16 à 75 en barre |
| 0,2 mm | 1,00 m pour les Ø 16 à 252,00 m pour les Ø 32 à 75 | À sertir | Laiton ou bronze |
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COMAP | Beta Skin | 14/12-1721*V1 | 2014 |
| PERT/Al/PEHD | De 14 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 80 cm pour Ø 14 et 16 100 cm pour Ø 18 et 20 150 cm pour Ø 26 et 32 | À sertir | Métal PPSU | À compression |
Multiskin | 14/12-1722*V1 | 2014 |
| PE-Xc/Al/PE-Xb | De 14 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,4 mm | 80 cm pour Ø 14 et 16 100 cm pour Ø 18 et 20 150 cm pour Ø 26 et 32 | À sertir | Métal PPSU | À compression | |
Multiskin 4 | 14/09-1481*V2 | 2014 |
| PE-Xc/Al/PE-Xc | De 16 à 32 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,4 mm | Idem ci-dessus, plus respectivement 170, 180et 200 cm pour Ø 40, 50 et 63 | À sertir | Métal PPSU | À compression | |
DUOFIL | Maximetal | 14/09-1329 14/09-1329*02 | 2009 2011 | Giacomini Multistrato Ryb Terra XLS CDP Multiquick | PE-RT/Al/PE-RT | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 1,00 m pour les Ø 14, 16 et 20 1,50 m pour les Ø 25 et 26 | À sertir À glissement | Métal PPSU | À compression |
DW VERBUNDROHR | Multitubo | 14/10-1560*V2 | 2014 |
| PERT/Al/PERT | De 16 à 75 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 120 à 150 cm pour les Ø 16 à 32 De 170 à 240 cm pour les Ø 40 à 75 | À sertir | Laiton |
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EMMETI | Gerpex-Fivpress | 14/09-1457*V1 | 2012 |
| PE-Xb/Al/PE-Xb | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 1,00 m pour le Ø 16 à 2,00 m pour le Ø 32 | À sertir | Métal |
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FOSHAN RIFENG | Rifeng | 14/09-1524*V1 | 2011 | Ebrille MonflexBanninger B Flex | PEX/AL/PEX | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 50, 60, 70 et 80 cm respectivementpour les Ø 16, 20, 25 et 32 | À sertir | Laiton | À compression |
FRÄNKISCHE | Turatec | 14/13-1880 | 2013 |
| PERT/Al/PERT | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 1,20 m pour le Ø 16 à 2,00 m pour le Ø 32 | À sertir | Laiton PPSU | Push-Fit |
Alpex-Duo XS et L | 14/13-1852 | 2013 |
| PE-Xb/Al/PEHD | De 16 à 63 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 1,20 à 1,75 m pour Ø 16 à 26Et de 2,00 à 2,50 m pour Ø 32 à 63 | À sertir | Laiton PPSU | Push-Fit | |
GEBERIT | Mepla et Mepla Therm | 14/12-1747 14/12-1748 | 2012 |
| PE-Xb/Al/PEHD | De 16 à 75 en couronne ou en barre |
| 0,37 mm en couronne 0,47 mm en barre | Non-précisé dans l Atec | À sertir | Métal PVDF |
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PushFit | 14/09-1502 | 2010 |
| PE-Xb/Al/PE-RT | De 16 à 25 en barre |
| 0,2 mm | 100 cm pour les Ø 16 et 20 150 cm pour le Ø 25 | Push-Fit | Métal PVDF |
| |
GEORG FISCHER JRG | JRG Sanipex MT | 14/11-1643*V1 | 2013 |
| PE-Xc/Al/PE-X | De 16 à 32 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,4 mm | De 1,00 à 1,50 m pour Ø 16 à 26Et de 2,00 à 2,50 m pour Ø 32 à 63 | À compression | Bronze PPSU |
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GIACOMINI | Multicouche | 14/08-1307 | 2008 |
| PE-Xb/Al/PE-Xb | De 14 à 63 en couronne ou en barre |
| 0,4 mm | 1,00 m pour les Ø 14, 16 et 20 1,50 m pour le Ø 26 | À sertir | Laiton | À compression |
HAKAGERODUR | Hakathen- L | 14/13-1921 | 2014 |
| PERT/Al/PEHD | De 14 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 80 cm pour Ø 14 et 16 100 cm pour Ø 18 et 20 150 cm pour Ø 26 et 32 | À sertir | Laiton |
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HENCO | Henco RIX-c | 14/13-1844*V1 | 2014 |
| PE-Xc/Al/PE-Xc | De 16 à 26 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 80 cm pour Ø 16 120 cm pour Ø 20150 cm pour Ø 26 | À sertir | Laiton PVDF | Push-Fit |
Henco | 14/10-1608*V1 | 2014 |
| PE-Xc/Al/PE-Xc | De 14 à 63 en couronne ou en barre |
| 0,4 mm | De 80 à 150 cm pour Ø 16 à 26De 160 à 200 cm pour Ø 32 à 63 | À sertir | Laiton PVDF | Push-Fit | |
IPA | Ipalpex | 14/13-1829 | 2013 | Tuborama Sanili Almatherm PEX | PE-Xb/Al/PE-Xb | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 40 cm pour Ø 16 et 20 60 m pour Ø 26 et 32 | À sertir | Laiton | À compression |
IVAR | Multipress | 14/10-1595 | 2010 | Danfoss Pressfitting ; Somatherm MultiX | PE-RT/Al/PE-HD | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 1,20 à 2,00 m en horizontal pour les Ø de 16 à 32 | À sertir | Métal |
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NICOLL | Fluxo | 14/13-1828 | 2013 |
| PE-Xb/Al/PE-Xb | De 16 à 32 en couronne De 16 à 75 en barre |
| 0,2 mm en couronne 0,4 mm en barre | 1,00 m pour Ø 16 et 20 1,50 m pour Ø 26 | À sertir | Métal | À compression |
NUPIGECO | Multinupi | 14/12-1778 | 2012 |
| PERT/Al/PEHD | De 16 à 32 en couronne, De 16 à 63 en barre |
| 0,3 mm | Non-précisé dans lAtec | À sertir | Laiton PPSU |
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OVENTROP | Combi Système | 14/12-1776 | 2012 |
| PE-Xc/Al/PE-Xb | De 16 à 40 en couronne ou en barre |
| 0,4 mm | Non-précisé dans lAtec | À sertir | Bronze | À compression |
PRANDELLI | Multyrama | 14/10-1561*V1 | 2012 | Novaplast Vesbo | PE-Xb/Al/PE-Xb | De 16 à 32 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,2 mm | 1 m pour Ø 16 et 20 1,50 m pour Ø 25 Et 2 m pour Ø 32 à 50 | À sertir | Laiton |
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REHAU | Rautherm Multi | 14/13-1863 | 2013 |
| PE-Xc/Al/PE-RT | De 16 à 25 en couronne De 16 à 40 en barre |
| 0,2 mm | 120 cm pour Ø 16 et 20 150 cm pour Ø 20180 cm au-delà | À glissement | Corps laiton bague PVDF | À compression |
SANHA | MultiFit-Flex | 14/13-1860 | 2013 |
| PERT/Al/PEHD | De 16 à 32 en couronne ; de 16 à 63 en barre |
| 0,2 mm | De 1 à 2 m pour Ø 16 à 32 Et de 2,25 à 2,75 m pour Ø 40 à 63 | À sertir | Métal |
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TECE | Teceflex | 14/13-1881 | 2013 |
| PE-Xc/Al/PE-RT | De 16 à 25 en couronne ou en barre |
| 0,24 mm | 100 cm pour Ø 16 115 cm pour Ø 20Et 130 cm pour Ø 25 | À glissement | Métal PPSU |
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Tecelogo | 14/10-1614*V2 | 2013 |
| PE-Xc/Al/PE-RT | De 16 à 50 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | Idem ci-dessus plus 150 cm pour Ø 32 180 cm pour Ø 40 Et 200 cm pour Ø 50 | Push-Fit | Métal PPSU |
| |
TRA | Multitrapress | 14/10-1554 | 2011 |
| PE-Xb/AL/PE-Xb | De 16 à 32 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,25 mm | 1 m pour Ø 16 et 20 1,50 m pour Ø 25 Et 2 m pour Ø 32 à 63 | À sertir | Métal |
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UNIDELTA | DeltAll | 14/10-1563 | 2010 | Ivar MP | PEX/AL/PEX | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | De 1,20 à 2,00 m en horizontal pour les Ø de 16 à 32 | À sertir | Laiton |
|
UPONOR | Système multicouche | 14/13-1858*V1 | 2014 |
| PERT/Al/PERT | De 16 à 32 en couronne De 16 à 110 en barre |
| 0,2 mm en couronne0,4 mm en barre | 1,20 m pour Ø 16 en couronne 1,60 m pour Ø 16 en barre | À sertir | Laiton PPSU | Push-Fit |
VALSIR | Pexal | 14/13-1923 | 2014 |
| PE-Xb/Al/PE-Xb | De 14 à 32 en couronne De 16 à 90 en barre |
| 0,3 mm | De 1,00 m pour le Ø 16 à 3,00 m pour le Ø 90 | À sertir | Laiton PPSU | À compression |
Mixal | 14/10-1559*V1 | 2014 |
| PEX/Al/PE-MD | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 80 cm maximum | À sertir | Laiton PPSU |
| |
VAN MARCKE | Tubipex alu | 14/12-1720 | 2012 |
| PEXb/Al/PEXb | De 16 à 32 en couronne ou en barre |
| 0,2 mm | 1 m pour Ø 16 à 20 1,50 m pour Ø 25 Et 2 m pour Ø 32 | À sertir | Métal |
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VIEGA | Pexfit Pro | 14/13-1887 | 2013 |
| PE-Xc/Al/PE-Xc | De 16 à 25 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,2 mm | 1,00 m pour les Ø 16 et 201,50 m pour les Ø 25 à 63 | À sertir | Bronze PPSU |
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Pexfit Fosta | 14/11-1637 | 2011 |
| PE-Xc/AL/PE | De 16 à 25 en couronne ou en barre |
| 0,3 mm | 1,00 m pour les Ø 16 et 20 ; 1,50 m pour le Ø 25 | À sertir | Bronze |
| |
WAVIN | Push and Press | 14/13-1827*V1 | 2014 |
| PE-Xc/Al/PE | De 16 à 25 en couronne De 16 à 63 en barre |
| 0,2 mm | 1,20 m pour Ø 16 et 20 1,50 m pour Ø 25 Et 1,80 m au-delà | À sertir | Laiton | Push-Fit |
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