© Jean-Philippe Mesguen / VenhoevenCS/Ateliers 2/3/4/
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« Une couverture qui combine de nombreuses problématiques », Jean-Baptiste Bodin.
Les grandes halles-bassins des centres aquatiques sont complexes à maîtriser acoustiquement, car il faut contrôler la réverbération alors que les surfaces dures et réfléchissantes sont très présentes (eau, carrelages, vitrages, etc.). L'absorbant est majoritairement placé en plafond, parfois un peu en mural, avec un risque à prendre en compte - celui de la condensation, et donc du pourrissement de l'absorbant acoustique en toiture dans une atmosphère saturée d'eau. Dans le futur centre aquatique olympique, l'absorbant acoustique est intégré dans la composition de la toiture. Le parti pris constructif consiste en une structure en bois avec une charpente en catène (arc inversé), un solivage en bois ajouré, des panneaux en laine de roche de 50 mm d'épaisseur, des bacs acier nervurés avec un léger plenum d'air entre la laine de roche et les bacs acier, un isolant de type Foamglas qui est recouvert par l'étanchéité support des panneaux solaires PV d'une surface de 4 680 m². Quant à la halle-bassin, elle présente un double enjeu, en termes d'acoustique et d'hygrométrie. Le bureau d'études Inex, spécialisé en CVC, a réalisé une simulation Wufi sur la[…]
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