L'immeuble du 55 rue d'Amsterdam, à Paris, est l'un des pionniers de la certification Well.
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Complémentaire aux labels HQE, Leed et Breeam, plus axés sur les performances thermique et environnementale, le jeune label Well promeut le confort de l'utilisateur comme nouvelle valeur ajoutée de l'immeuble tertiaire. Le point sur sa mise en œuvre.
Avec 300 bâtiments en cours de labellisation dans le monde, dont une trentaine en France, le label Well commence à décoller après son lancement en octobre 2014. Son objectif ? S'afficher comme un nouveau standard du bien-être au travail. « Les certifications HQE, Well, et Leed ont mis l'accent sur les performances énergétique et environnementale du bâtiment, avec un certain succès, analyse Hervé Moal, directeur général du bureau de conseil Arp Astrance. Mais cette performance s'est faite parfois au détriment de l'utilisateur, pour le contrôle des stores, par exemple. Il y a donc une volonté de remettre le bien-être au centre de la conception, ce qui est aussi une nouvelle façon de donner une valeur ajoutée aux immeubles de bureaux. »
Le label Well s'organise autour de sept cibles déclinées en de nombreux items, avec plusieurs niveaux de labellisation (silver, gold, platinum… ) selon le nombre de critères choisis. Si certaines cibles recoupent des préoccupations habituelles aux autres[…]
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