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Les multiples confinements ont mis en évidence de nombreuses failles, notamment dans notre environnement. Le bruit en fait partie. Malgré cela, dans le projet de loi « Climat et résilience » actuellement débattu à l’Assemblée nationale, la pollution sonore ne vient pas se glisser dans les paramètres à améliorer aux côtés du dérèglement climatique et du renforcement de la résilience. Le syndicat CINOV GIAc le regrette et monte au créneau afin qu’il soit également pris en considération : « une grande partie du coût social du bruit en France provient directement de la mauvaise qualité du bâti existant (…) qui n’est plus adapté à l’exposition au bruit – qu’il provienne des transports, de l’étalement urbain ou du voisinage. », prévient son président Jean-Paul Van Cuyck. Davantage de présence au domicile, à cause du télétravail notamment, génère davantage de situations de troubles de voisinage, d’autant que l’impact du bruit des espaces extérieurs est réduit. » Pourtant, les effets de niveaux élevés d’exposition au bruit sont connus : perte de concentration, stress, troubles du sommeil, etc. La commission technique du Conseil national du bruit (CNB), en lien avec le CINOV GIAc, regrette l’absence de[…]
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