Construction de la tour Green Office Enjoy sur la ZAC Batignolles (Paris XVIIe).
© Luc Boegly
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Le match mondial de la construction bois en hauteur fait parfois oublier à quel point le développement du marché de la moyenne hauteur, notamment tertiaire, est devenu exponentiel, tout particulièrement en France.
Lorsque Frank Mathis, dirigeant de l'entreprise du même nom et président de l'Association pour le développement des immeubles à vivre en bois (AdivBois), lance, fin 2012, son idée de tours en bois pensées comme objets d'innovation, il ne part pas de rien. À Londres, un immeuble d'habitation tout en CLT atteint alors la hauteur record de dix étages, en passe d'être battue d'un petit étage à Melbourne. Toujours en CLT, le Toit vosgien et l'agence ASP ont réalisé, à Saint-Dié-des-Vosges (88), la prouesse d'atteindre huit étages en logement social dès 2007 - avec isolation en paille de surcroît. À Paris, l'agence Lipsky et Rollet travaille avec la Scop Gaujard sur un bâtiment en bois de même hauteur, la Maison de l'Inde (Paris XIVe). De son côté, Mathis planche avec l'agence Fassio-Viaud, depuis 2009, sur un immense bâtiment de bureaux R+7 à Saint-Denis (93), livré finalement dix ans plus tard et baptisé Pulse (lire p. 18).
L'extension en bois au centre de l'immeuble Aquarel, à Issy-les-Moulineaux (92), est sans doute[…]
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