GRDF met en service deux à trois sites d'injection de méthanisation chaque semaine.
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Dans une logique de décarbonation de la filière gaz, le groupe GRDF axe son développement autour du biométhane. Et plaide pour des mesures publiques d'accompagnement.
Devant la presse, le 29 mars dernier, la nouvelle directrice générale de GRDF, Laurence Poirier-Dietz, a détaillé la stratégie de décarbonation de la filière gaz et ses impacts attendus dans le secteur de la construction. Elle a d'abord annoncé un nombre record de stations de méthanisation raccordées, plus de travaux en raison des actions de prévention afin d'éviter les dommages aux ouvrages et la fin du déploiement des compteurs communicants. Concernant le secteur du bâtiment, environ 40 % des besoins de chaleur sont couverts par le gaz, qui produit jusqu'à 130 GW lors des pointes hivernales, ce qui est plus élevé que la production d'électricité (95 GW en pointe). Un premier axe vertueux consiste à généraliser en collectif les chaudières à très haute performance énergétique (THPE). En résidentiel, une autre solution est la PAC hybride pilotée en fonction du prix des énergies et de la saisonnalité. Concernant le gaz renouvelable, « à fin 2021, on comptait 365 sites d'injection de biométhane en France et il devrait y en avoir 515 fin 2022, tous réseaux confondus,[…]
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