À Arc-lès-Gray (70), le projet de l'agence A2A répond aux exigences du Bepos Effilogis 2018 et du niveau E3C1.
© A2A
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Les bailleurs sociaux qui se lancent sur des opérations à énergie positive doivent se confronter à de nouvelles manières de construire et trouver un modèle économique viable.
Soumis à d'importants travaux de rénovation énergétique, le parc social continue de s'étendre en expérimentant de nouvelles réalisations de bâtiments à énergie positive. Produisant plus d'énergie qu'ils n'en consomment, les premiers bâtiments sociaux Bepos concernent des petits collectifs R+2 à R+4 ou des maisons individuelles accolées. Les maîtrises d'ouvrage qui s'engagent dans de tels projets misent sur l'exemplarité de leurs opérations, avec des objectifs qui dépassent souvent le Bepos pour aller vers la labellisation E+C-. Loin de la traditionnelle opération en agglomérés et isolation par l'intérieur, ces constructions met tent en œuvre des ossatures bois, briques, béton ou mixte bois-béton, en ayant la plupart du temps recours à une isolation par l'extérieur ou à une isolation répartie. Le travail sur les performances de l'enveloppe implique une plus grande finesse de conception pour les maîtres d'œuvre et les entreprises. Il s'agit généralement de résoudre des détails de construction complexes pour maîtriser parfaitement l'étanchéité à l'air et[…]
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