Pas toujours besoin d'une connexion filaire pour offrir un accès aux pirates. C'est aussi par les ondes qu'ils peuvent pénétrer dans les systèmes.
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L'avènement des objets connectés ouvre la voie à de nouveaux services, mais aussi à de potentiels actes de piratage. Des risques auxquels les acteurs du secteur ne sont pas assez sensibilisés.
Mi-février 2021, la cyberattaque dont a été victime le centre hospitalier de Villefranche-sur-Saône (69) a remis sur le devant de la scène la question de la sécurité des bâtiments intelligents (smart buildings) et plus largement des villes intelligentes (smart cities). Ils représentent la promesse d'une gestion automatisée et optimisée des ressources (énergie, eau, etc.), d'un confort accru de leurs utilisateurs grâce à la mise en place de capteurs et d'actionneurs innovants et communicants, le fameux internet des objets (internet of things, plus communément désigné IoT). Cependant, si les systèmes ne sont pas correctement sécurisés, le risque d'une attaque est grand. Le secteur du bâtiment est-il préparé à cette cybercriminalité qui explose ces dernières années ? « Globalement, non. L'un des principaux défis réside dans la prise de conscience de ces risques », estime Éric Ruéda, responsable commercial Software & Connectivity chez Eaton. Si la cybersécurité n'est pas un sujet primordial pour les acteurs du bâtiment, il faut qu'elle le[…]
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